Attention c'est très long à raconter, je vais tenter de faire des phrases courtes:
Acte premier: les 5h d'attente à Paris:
- Première tentative de décollage: on accélère sur la piste et là tout à coup on ralentit, bizarre, on va se garer. Pas de message pour expliquer ce qui se passe.
- 1h plus tard, rebelote: re-tentative de décollage, re-décélération. Ils n'ont manifestement pas réglé le problème du premier coup, pas rassurant.
- Toujours pas de message, mais ils servent le repas.
- Enfin un message en anglais-accent-chinois pour dire qu'il y a un retard (sans blague) et qu'on attend que l'équipe de maintenance termine.
- Les gens commencent un peu à s'énerver. Je demande à trois hôtesses s'il y a une prise de courant pour recharger mon téléphone, trois réponses négatives.
- Déjà 3h30 de retard. Comme l'escale à Shanghai est de 3h, c'est déjà mort. Avec un autre Français, on va à l'avant de l'avion se renseigner pour voir si on peut sortir de l'avion, dormir à Paris et reprendre le vol du lendemain. Le personnel au sol, représenté par un gars qui parle français pour le coup, nous explique que l'avion va bien partir, qu'il y avait un mauvais réglage des freins (ah bah si c'est que ça!) et que c'est bon on y est presque. Je demande une prise de courant, il dit au chef de cabine et tout à coup il y a des prises de courant dans l'avion. Le chef de cabine m'emmène entre les deux cabines de la classe affaires, puis quand il me voit brancher mon truc il demande si je suis en business, je lui dis non, il répond que je ne peux pas utiliser la prise du coup. Je l'envoie chier.
- Plus de 4h de retard. Ça s'engueule en chinois près de moi, alors que je regarde tranquillement mon téléphone se charger.
- 5h de retard, on décolle enfin! Parait qu'Air China a du payer une amende de 30000 euros pour le décollage après minuit, bien fait pour leur gueule.
Acte deuxième: l'enfer pékinois - l'aéroport
- Arrivée à Pékin (escale technique prévue avant Shanghai). On ne devait pas descendre de l'avion, mais tout le monde descend. À la sortie de l'avion, on met de côté les gens qui doivent continuer à Shanghai et on nous file des cartes d'embarquement (et un autocollant Air China!) pour reprendre le même avion. Groupe de 7 Français (2 couples plus âgés et trois djeuns), je suis le seul à parler correctement anglais.
- Une hôtesse nous emmène à l'immigration puis disparait.
- Le gars de l'immigration nous dit que c'est pas bon, on n'a pas la bonne carte d'embarquement (évidemment madame Air China a disparu).
- On trouve un comptoir Air China, où on nous change nos billets: on part désormais le lendemain directement de Pékin à Sydney sans passer par Shanghai. La nana nous explique qu'on doit récupérer nos bagages puis aller au comptoir Air China pour l'hôtel. Je prends vaillamment la tête du groupe.
- On retente l'immigration, ça marche. On va vers les bagages, on attend on attend...
- Pas de bagages en vue pour nous 7, on va au service bagages-qui-n'arrivent-pas, ils cherchent (apparemment nos valises devaient continuer vers Shanghai vu que nous aussi à la base).
- 1h plus tard les valises arrivent enfin. On sort vers le comptoir Air China.
- Queue du côté gauche, on nous dit qu'il faut faire la queue de l'autre côté pour valider les billets du lendemain puis revenir faire la queue ici pour l'hôtel. Sympa.
- Le mec qui doit nous emmener à l'hôtel arrive. Il ne parle que chinois. Je vais au comptoir pour leur demander c'est quoi ce bordel, et accessoirement vérifier qu'on a bien transport, diner, hotel, ptit dej, dej et re-transport compris. Je lui demande des cartes téléphoniques pour qu'on prévienne nos êtres chers, il n'en a pas. Je râle, il en trouve miraculeusement deux. Je lui dis qu'on est 8 et que ça ne va pas suffire, mais il n'en a plus. Tant pis, lui dis-je, on appellera depuis nos chambres d'hôtel et c'est Air China qui paiera la note. Tout à coup, il trouve 3 autres cartes.
- Le Chinois souriant et non anglophone (nous l'appellerons Tchang) nous embarque en bus à un hôtel.
Acte troisième: l'enfer pékinois - l'hôtel (plutôt les hôtels)
- Arrivée à l'hôtel. Marée humaine de personnes dont les vols ont été retardés. Au bout d'un bon moment on arrive à la réception, et on nous dit que pas de diner la cuisine est fermée. Je râle, le mec appelle Air China, Tchang réapparait et nous embarque dans un minibus vers un autre hôtel, soi-disant 4 étoiles. On arrive là-bas, on va s'enregistrer.
- On nous dit que comme on est 7 et que ce sont des chambres de 2, la 7e personne doit payer un supplément. Je lui dis c'est quoi ce bordel, elle dit que sinon la 7e personne se retrouve avec un inconnu. Comme on avait commencé à bien se connaitre tous les 7 et qu'il y avait 2 couples dans le tas, j'ai dit de nous faire une chambre de 3. Ils ont dit qu'ils n'en avaient pas, que c'était que des chambres de 2. J'ai dit d'un air exaspéré on s'en fout, on prend trois chambres et quelqu'un dormira parterre et que c'est du joli. Tout à coup, ils peuvent rajouter un lit dans une chambre. Je lui demande pour le diner, elle me dit d'aller dans le resto de l'hôtel et de dire qu'on est des passagers en retard.
- On va au resto, je dis qu'on est des passagers Air China en retard, elle nous envoie au buffet à gauche. Arrivés au buffet, une autre nous dit "ah ben non le buffet est fermé, vous devez commander à la carte dans l'autre salle".
- On commande, on mange. On voit Tchang réapparaitre à une autre table. À un moment le chef vient me montrer un plat sur la carte pour me dire que c'est bon, je lui dis cool et je commande autre chose, ils ramènent quand même deux exemplaires dudit plat.
- Moment amusant de la soirée: on nous ramène l'addition.
- Je leur dis que c'est Air China qui régale, il va se renseigner à la réception, j'y vais. La nana explique que Air China paie le buffet, et qu'on n'a pas mangé au buffet, donc c'est nous qu'on paie. Je lui dis c'est bien gentil mais on savait pas, et c'est eux qui nous ont envoyés à la carte. Évidemment, Tchang a redisparu (non pas qu'il aurait été d'une quelconque utilité).
Je passe les trois heures d'échanges animés qui ont suivi. Je préciserai que je n'ai jamais autant hurlé de ma vie. Je me suis égosillé à dire à cette face de pet que c'est leur faute, qu'on n'était pas censés deviner qu'il fallait aller au buffet, que leurs employés nous ont dirigés ainsi, que c'est au mieux de l'incompétence, au pire de l'escroquerie et que c'est 100% leur faute et qu'on ne va pas payer. Et qu'en plus on nous facture deux plats qu'on n'avait pas commandés. La seule réponse que j'avais c'était "Air China paie le buffet, vous payez le reste, sinon pas de chambres". Oui mais on pouvait pas deviner connasse, c'est vous qui nous avez envoyés à la carte alors qu'on a répété qu'on était Air China en retard.
Quelques extraits marrants de la conversation:
"- Are you the manager?
- I'm the assistant manager.
- I want to speak to the manager.
- I'm the manager."
"- It's your fault, your responsibility, your mistake. We're not going to pay for YOUR mistakes. I'm not paying anything, and I'm going up to my room, I'm sick of arguing and waiting.
- No, if you no pay, no room, I call the police.
- Well, go ahead, call the police. I'll call the French embassy. Let's see who wins."
- Finalement, un des Français (le groupe plus âgé) en avait marre, un peu comme tout le monde, on était crevés après 24h de voyage. Il a sorti 5 billets de 20 euros (la nana voulait 125 euros), on lui a dit que c'était ça ou rien, elle ne voulait pas au début, mais quand j'ai voulu reprendre l'argent et appeler l'ambassade elle a fini par accepter.
- On est enfin montés dans les chambres. Ils n'avaient pas rajouté le lit. On a vu une chambre ouverte en face, on a pris un matelas. Les matelas étaient durs comme du bois.
- Nuit courte, ptit dej buffet, glande dans l'hôtel, dej buffet (on ne s'est pas refait couillonner) immonde, en plus il fallait s'y reprendre à 3 fois avant de trouver une assiette propre, tu parles d'un hôtel 4 étoiles. On demande de l'eau, ils nous ramènent de l'eau chaude. Puis des glaçons pour mettre dedans...
- On part enfin à l'aéroport. Une des personnes du groupe a un nom trop long, qu'elle a du raccourcir pour la demande de visa, donc évidemment à l'enregistrement ça marque qu'elle n'a pas de visa pour l'Australie et ne peut donc pas embarquer. On leur dit de chercher par numéro de passeport, ils ne veulent pas. Finalement après avoir essayé moult combinaisons de noms, ils la trouvent. Entretemps, il y avait un seul comptoir ouvert pour ce vol et les gens s'accumulaient derrière.
- Après ça se passe normalement, on embarque, on décolle, on mange un truc immonde dans l'avion à base de riz bouilli et avec un oeuf dur dont le blanc n'est pas blanc mais marron.
- Et on arrive à Sydney, décollage lundi soir heure française, arrivée jeudi matin heure de Sydney, 50h de voyage et 10h de décalage.
Bizarrement on a tous un peu de mal avec la Chine et ses habitants pendant un moment...
Acte premier: les 5h d'attente à Paris:
- Première tentative de décollage: on accélère sur la piste et là tout à coup on ralentit, bizarre, on va se garer. Pas de message pour expliquer ce qui se passe.
- 1h plus tard, rebelote: re-tentative de décollage, re-décélération. Ils n'ont manifestement pas réglé le problème du premier coup, pas rassurant.
- Toujours pas de message, mais ils servent le repas.
- Enfin un message en anglais-accent-chinois pour dire qu'il y a un retard (sans blague) et qu'on attend que l'équipe de maintenance termine.
- Les gens commencent un peu à s'énerver. Je demande à trois hôtesses s'il y a une prise de courant pour recharger mon téléphone, trois réponses négatives.
- Déjà 3h30 de retard. Comme l'escale à Shanghai est de 3h, c'est déjà mort. Avec un autre Français, on va à l'avant de l'avion se renseigner pour voir si on peut sortir de l'avion, dormir à Paris et reprendre le vol du lendemain. Le personnel au sol, représenté par un gars qui parle français pour le coup, nous explique que l'avion va bien partir, qu'il y avait un mauvais réglage des freins (ah bah si c'est que ça!) et que c'est bon on y est presque. Je demande une prise de courant, il dit au chef de cabine et tout à coup il y a des prises de courant dans l'avion. Le chef de cabine m'emmène entre les deux cabines de la classe affaires, puis quand il me voit brancher mon truc il demande si je suis en business, je lui dis non, il répond que je ne peux pas utiliser la prise du coup. Je l'envoie chier.
- Plus de 4h de retard. Ça s'engueule en chinois près de moi, alors que je regarde tranquillement mon téléphone se charger.
- 5h de retard, on décolle enfin! Parait qu'Air China a du payer une amende de 30000 euros pour le décollage après minuit, bien fait pour leur gueule.
Acte deuxième: l'enfer pékinois - l'aéroport
- Arrivée à Pékin (escale technique prévue avant Shanghai). On ne devait pas descendre de l'avion, mais tout le monde descend. À la sortie de l'avion, on met de côté les gens qui doivent continuer à Shanghai et on nous file des cartes d'embarquement (et un autocollant Air China!) pour reprendre le même avion. Groupe de 7 Français (2 couples plus âgés et trois djeuns), je suis le seul à parler correctement anglais.
L'autocollant Air China
- Une hôtesse nous emmène à l'immigration puis disparait.
- Le gars de l'immigration nous dit que c'est pas bon, on n'a pas la bonne carte d'embarquement (évidemment madame Air China a disparu).
- On trouve un comptoir Air China, où on nous change nos billets: on part désormais le lendemain directement de Pékin à Sydney sans passer par Shanghai. La nana nous explique qu'on doit récupérer nos bagages puis aller au comptoir Air China pour l'hôtel. Je prends vaillamment la tête du groupe.
- On retente l'immigration, ça marche. On va vers les bagages, on attend on attend...
- Pas de bagages en vue pour nous 7, on va au service bagages-qui-n'arrivent-pas, ils cherchent (apparemment nos valises devaient continuer vers Shanghai vu que nous aussi à la base).
L'attente
- 1h plus tard les valises arrivent enfin. On sort vers le comptoir Air China.
- Queue du côté gauche, on nous dit qu'il faut faire la queue de l'autre côté pour valider les billets du lendemain puis revenir faire la queue ici pour l'hôtel. Sympa.
- Le mec qui doit nous emmener à l'hôtel arrive. Il ne parle que chinois. Je vais au comptoir pour leur demander c'est quoi ce bordel, et accessoirement vérifier qu'on a bien transport, diner, hotel, ptit dej, dej et re-transport compris. Je lui demande des cartes téléphoniques pour qu'on prévienne nos êtres chers, il n'en a pas. Je râle, il en trouve miraculeusement deux. Je lui dis qu'on est 8 et que ça ne va pas suffire, mais il n'en a plus. Tant pis, lui dis-je, on appellera depuis nos chambres d'hôtel et c'est Air China qui paiera la note. Tout à coup, il trouve 3 autres cartes.
- Le Chinois souriant et non anglophone (nous l'appellerons Tchang) nous embarque en bus à un hôtel.
Acte troisième: l'enfer pékinois - l'hôtel (plutôt les hôtels)
- Arrivée à l'hôtel. Marée humaine de personnes dont les vols ont été retardés. Au bout d'un bon moment on arrive à la réception, et on nous dit que pas de diner la cuisine est fermée. Je râle, le mec appelle Air China, Tchang réapparait et nous embarque dans un minibus vers un autre hôtel, soi-disant 4 étoiles. On arrive là-bas, on va s'enregistrer.
- On nous dit que comme on est 7 et que ce sont des chambres de 2, la 7e personne doit payer un supplément. Je lui dis c'est quoi ce bordel, elle dit que sinon la 7e personne se retrouve avec un inconnu. Comme on avait commencé à bien se connaitre tous les 7 et qu'il y avait 2 couples dans le tas, j'ai dit de nous faire une chambre de 3. Ils ont dit qu'ils n'en avaient pas, que c'était que des chambres de 2. J'ai dit d'un air exaspéré on s'en fout, on prend trois chambres et quelqu'un dormira parterre et que c'est du joli. Tout à coup, ils peuvent rajouter un lit dans une chambre. Je lui demande pour le diner, elle me dit d'aller dans le resto de l'hôtel et de dire qu'on est des passagers en retard.
- On va au resto, je dis qu'on est des passagers Air China en retard, elle nous envoie au buffet à gauche. Arrivés au buffet, une autre nous dit "ah ben non le buffet est fermé, vous devez commander à la carte dans l'autre salle".
- On commande, on mange. On voit Tchang réapparaitre à une autre table. À un moment le chef vient me montrer un plat sur la carte pour me dire que c'est bon, je lui dis cool et je commande autre chose, ils ramènent quand même deux exemplaires dudit plat.
- Moment amusant de la soirée: on nous ramène l'addition.
- Je leur dis que c'est Air China qui régale, il va se renseigner à la réception, j'y vais. La nana explique que Air China paie le buffet, et qu'on n'a pas mangé au buffet, donc c'est nous qu'on paie. Je lui dis c'est bien gentil mais on savait pas, et c'est eux qui nous ont envoyés à la carte. Évidemment, Tchang a redisparu (non pas qu'il aurait été d'une quelconque utilité).
L'insouciance avant la tempête
Je passe les trois heures d'échanges animés qui ont suivi. Je préciserai que je n'ai jamais autant hurlé de ma vie. Je me suis égosillé à dire à cette face de pet que c'est leur faute, qu'on n'était pas censés deviner qu'il fallait aller au buffet, que leurs employés nous ont dirigés ainsi, que c'est au mieux de l'incompétence, au pire de l'escroquerie et que c'est 100% leur faute et qu'on ne va pas payer. Et qu'en plus on nous facture deux plats qu'on n'avait pas commandés. La seule réponse que j'avais c'était "Air China paie le buffet, vous payez le reste, sinon pas de chambres". Oui mais on pouvait pas deviner connasse, c'est vous qui nous avez envoyés à la carte alors qu'on a répété qu'on était Air China en retard.
Quelques extraits marrants de la conversation:
"- Are you the manager?
- I'm the assistant manager.
- I want to speak to the manager.
- I'm the manager."
"- It's your fault, your responsibility, your mistake. We're not going to pay for YOUR mistakes. I'm not paying anything, and I'm going up to my room, I'm sick of arguing and waiting.
- No, if you no pay, no room, I call the police.
- Well, go ahead, call the police. I'll call the French embassy. Let's see who wins."
- Finalement, un des Français (le groupe plus âgé) en avait marre, un peu comme tout le monde, on était crevés après 24h de voyage. Il a sorti 5 billets de 20 euros (la nana voulait 125 euros), on lui a dit que c'était ça ou rien, elle ne voulait pas au début, mais quand j'ai voulu reprendre l'argent et appeler l'ambassade elle a fini par accepter.
- On est enfin montés dans les chambres. Ils n'avaient pas rajouté le lit. On a vu une chambre ouverte en face, on a pris un matelas. Les matelas étaient durs comme du bois.
Le matelas volé (et rendu au petit matin)
- Nuit courte, ptit dej buffet, glande dans l'hôtel, dej buffet (on ne s'est pas refait couillonner) immonde, en plus il fallait s'y reprendre à 3 fois avant de trouver une assiette propre, tu parles d'un hôtel 4 étoiles. On demande de l'eau, ils nous ramènent de l'eau chaude. Puis des glaçons pour mettre dedans...
L'hôtel honni
Et pourtant si bien décoré
- On part enfin à l'aéroport. Une des personnes du groupe a un nom trop long, qu'elle a du raccourcir pour la demande de visa, donc évidemment à l'enregistrement ça marque qu'elle n'a pas de visa pour l'Australie et ne peut donc pas embarquer. On leur dit de chercher par numéro de passeport, ils ne veulent pas. Finalement après avoir essayé moult combinaisons de noms, ils la trouvent. Entretemps, il y avait un seul comptoir ouvert pour ce vol et les gens s'accumulaient derrière.
- Après ça se passe normalement, on embarque, on décolle, on mange un truc immonde dans l'avion à base de riz bouilli et avec un oeuf dur dont le blanc n'est pas blanc mais marron.
- Et on arrive à Sydney, décollage lundi soir heure française, arrivée jeudi matin heure de Sydney, 50h de voyage et 10h de décalage.
Bizarrement on a tous un peu de mal avec la Chine et ses habitants pendant un moment...
Petite patrouille dans l'aéroport
L'armée des creepy-pandas
Et ouais mec, c'est ce que tu voulais non ? l'aventure toussa ... heureusement que t'es un raleur quand même. Fait nous plutôt rêver avec des belles surfeuses sois gentil ?
ReplyDeleteBizarrement un certain Braboul avait lu dans les boules et t'avais prévenu de ce qui adviendrait...
ReplyDeleteGive me good price Madam!
Keep on going, c'est le début d'une looooongue aventure!
Gros bisous
XSOXSO
We told you that you should have come through San Francisco, much better service than going through China!!
ReplyDeleteHope you're enjoying Australia. Wish we could join you!
Tu étais un peu dans ton élément, là, non ? :)
ReplyDeleteTrois heures de discute, chapeau, mais c'est pas bon pour les nerfs. Surf attitude, man !
"face de pet", mouahaha
ReplyDeleteDésolée de l'avouer mais j'ai eu les larmes aux yeux tellement j'ai ri en lisant tout ça, non pas que je veuille me moquer de tes malheurs (ou un petit peu quand même, ça t'apprendra à faire le radin et à prendre un vol de merde pour aller en Australie.)
J'adooooore particulièrement la décoration tellement appropriée de l'hôtel, l'autocollant AirChina (que vous auriez dû leur coller sur leur face de pet), et l'échange :"are you the manager?/I'm the assistant manager/I want to speak to the manager/I'm the manager"... Sans oublier l'armée des creepy-pandas! (Kaia qui adore les pandas en ferait des cauchemars!)
VDM mais TLBM!
(vous avez remboursé les 100€ au vieux ou c'est lui qui a régalé?)